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Le décalage entre les actions et les paroles face au réchauffement climatique persistant

La rareté des fruits et légumes traditionnels en fin d’année est frappante, attribuée aux conditions météorologiques extrêmes ayant perturbé les récoltes. Les agriculteurs signalent les dommages causés par la sécheresse et les fortes pluies successives.

Parallèlement, la diminution des espèces animales essentielles à la fertilité des sols inquiète. Que ce soit en ville ou à la campagne, la disparition de certains insectes comme les vers de terre, les papillons, ou encore des espèces marines, interroge sur les impacts du changement climatique.

Les conséquences dépassent les pénuries alimentaires : érosion côtière, disparition des coraux, assèchement des rivières, déforestation… Ces changements suggèrent une tendance permanente, avec des records de chaleur persistants.

Malgré les engagements de l’Accord de Paris sur le climat pour limiter le réchauffement à 1,5 degré, les actions politiques restent insuffisantes. Une étude récente souligne que la réduction des émissions de combustibles fossiles progresse trop lentement pour éviter des changements climatiques dangereux.

La nécessité de passer des énergies fossiles est claire, mais les décisions politiques peinent à suivre. L’approche de la COP 28 suscite des doutes quant à la possibilité de prendre des mesures historiques pour lutter contre le réchauffement climatique.

Cela résume l’article sur les défis liés au réchauffement climatique et l’insuffisance des actions politiques pour y faire face.